La vigilance, résultat d’une combinaison de facteurs |
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Le niveau de vigilance de tout professionnel est très étroitement lié à l’adéquation de son sommeil à ses besoins physiologiques. L’hypovigilance survient lorsqu’une personne ne parvient plus à répondre à son besoins de sommeil (qualitativement et/ou quantitativement). Conséquences : des baisses de performance sur le plan cognitif, physique et psychologique. |
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Pourquoi un diagnostic ?Prestation validée scientifiquement, le « diagnostic de vigilance » est une enquête sur mesure destinée à évaluer de façon ponctuelle ou continue le niveau de vigilance des professionnels, ainsi que ses impacts sur les différents volets de la performance de l’entreprise (productivité, qualité, sécurité, santé). Couplé à des actions d’amélioration de la vigilance, il permet d’évaluer leur retour sur investissement et d’en améliorer l’efficacité. |
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Démarche type
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Que mesure-t-on ? |
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Profil de vigilance
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Score de vigilance
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Des critères scientifiques pour la vigilance |
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SomnolencePropension plus ou moins irrésistible à s’endormir si on n’est pas stimulé. Etat opposé à un bon niveau de vigilance, déterminant pour nos capacités intellectuelles physiques et psychologiques au travail. |
Qualité du sommeilIndicateur qui détermine le repos physique et mental obtenu grâce au sommeil. Evalue l’efficience de notre sommeil à l’aune d’éventuels symptômes de perturbation de notre sommeil. Influence directement notre niveau de vigilance en journée. |
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Hygiène du sommeilEvalue objectivement la qualité de notre environnement de dormeur ainsi que la sanité de nos habitudes en matière de sommeil. Influence directement la qualité du sommeil. |
ChronotypeRenvoie à la durée de notre horloge biologique individuelle et au profil naturel de notre rythme veille-sommeil (être du matin ou du soir). |